Dr. Allyson Brady
« Astrobiology: hunting for Martian microbes on Earth«
29 avril – 12:30 PM à 1:30 PM – Richcraft Hall 2220
Allyson Brady a rejoint Carleton en 2022 et est professeur adjoint au département de biologie et membre de l’institut de biochimie. Elle a une formation en microbiologie, en anthropologie et en sciences de la terre, et s’appuie sur ces différentes disciplines dans son travail. Ses recherches visent à comprendre comment les microbes survivent, se développent et interagissent entre eux et avec leur environnement, et comment nous pouvons utiliser ces informations pour aider à développer des outils et des techniques biotechnologiques, comme l’utilisation de microbes pour dégrader les plastiques ou pour trouver des preuves de la vie passée sur d’autres planètes. Elle adore les activités de plein air et son travail en écologie microbienne a donné lieu à des projets avec la NASA et l’Agence spatiale canadienne, la Commission géologique du Canada, Nuclear Waste Management Ontario, le Musée royal de l’Ontario, et l’a amenée sur des sites de terrain en Antarctique, des sources chaudes dans l’ouest du Canada, des volcans à Hawaï, et à piloter des submersibles à une seule personne sous l’eau en Colombie Britannique.
Dr. Carole Yauk
« Adventures in genetic toxicology: our quest to discover human germ cell mutagens »
30 avril – 8:45AM à 9:45 AM – Richcraft Hall 2220
Dr. Carole Yauk a été pendant 18 ans la scientifique principale du Laboratoire de génomique du Bureau de la science et de la recherche en santé environnementale de Santé Canada. Elle a rejoint le département de biologie de l’Université d’Ottawa en tant que professeur en septembre 2020, où elle est titulaire de la Chaire de recherche du Canada de niveau 1 en génomique et environnement. Ses recherches portent principalement sur les efforts de collaboration multisectorielle visant à développer et à mettre en œuvre des outils génomiques pour l’évaluation des risques pour la santé humaine liés à l’exposition aux produits chimiques dans l’environnement. Elle participe à divers consortiums internationaux pour faire progresser ce domaine, notamment au sein de l’Institut des sciences de la santé et de l’environnement (un organisme mondial à but non lucratif), dont elle est actuellement vice-présidente du conseil d’administration et coprésidente du comité de stratégie et d’intendance des programmes. Elle est déléguée canadienne auprès de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), où elle participe au groupe consultatif sur l’émergence de la science dans le domaine des produits chimiques. Elle est présidente sortant de l’Environmental Mutagenesis and Genomics Society et membre du comité de rédaction de plusieurs revues consacrées à la mutagenèse et à la toxicologie génétique. Pendant son temps libre, elle fait de l’escalade, de la randonnée et du ski, ou est obsédée par sa série de Wordle en cours. Elle est impatiente de vous parler des efforts les plus récents de son laboratoire pour révolutionner les tests de mutagénicité à l’aide d’une technologie de séquençage de pointe appelée Duplex Sequencing!
Pub Talk
Dr. Catherine Cullingham
« Beer, deer, and prions to fear?«
Mardi 30 Avril 6:00 PM – PubTalk au Ollie’s
Dr. Catherine Cullingham est professeure adjointe, engagée comme généticienne des populations végétales à Carleton en juillet 2019. Elle a grandi dans une petite ferme laitière en bordure de la métropole animée de Burks Falls. Elle y a passé beaucoup de temps à l’extérieur et à interagir avec les animaux. Elle a toujours été passionnée par les mathématiques et la biologie et a décidé de faire ses études de premier cycle en biologie moléculaire et en génétique à l’Université de Guelph. Après avoir terminé son premier cycle, elle a décidé qu’elle détestait le travail en laboratoire et que la recherche n’était pas faite pour elle. Un an après n’avoir pas trouvé d’emploi intéressant, et après avoir eu de bonnes interactions avec des chercheur(e)s dans une station de recherche sur les plantes, elle s’est lancée dans une maîtrise à l’université de Trent. De là, elle est devenue accro et a été transférée au programme de doctorat où elle a utilisé la génétique des populations et des paysages pour examiner le risque de propagation de la rage du raton laveur dans l’Ontario. Elle a ensuite effectué son travail postdoctoral à l’université de l’Alberta, où elle a d’abord cherché à comprendre le risque de propagation de la maladie du dépérissement chronique chez les cerfs, puis est passée des mammifères aux plantes pour étudier la génétique des pins afin de comprendre le risque de propagation du dendroctone du pin ponderosa. Cette recherche a constitué la base de son laboratoire de recherche actuel.